Pourquoi le projet Biofermes en France ?

Objectif Principal

Favoriser le développement et l’autonomie des petites fermes agroécologiques et la conservation vivante des semences paysannes

Données clés

Bénéficiaires

454 personnes formées à l’agroécologie, par notre partenaire Ferme Sainte Marthe Sologne (et son organisme de formation Formations Bio Sainte Marthe)
84 futur.e.s paysan.ne.s formé.e.s dans les 7 petites fermes formatrices
– Parmi les 42 ancien.nes formé.es interrog&.es, 10 sont déjà installé.es et 17 sont en cours d’installation
– Un réseau d’ancien formé.es créées
76 futur·es paysan.ne.s formé.e.s à la conservation et la reproduction de semences
10 000 personnes sensibilisées à l’agroécologie
20 organisations paysannes renforcées par la mise en place d’un dialogue entre les structures paysannes et néo-paysannes sur les questions d’installation, de formation et d’accompagnement des porteurs de projet agricole (Les Rencontres Inter-acteurs)

Zone du projet

Région Centre Val de Loire, à Millançay avec la Ferme Sainte Marthe Sologne

Durée du projet

2016 – 2019

Partenaires locaux

Intelligence Verte, Mille Variétés Anciennes et Formations Bio Sainte Marthe

Sans titre

Prix

La partie française du projet Biofermes Internationales a reçu en 2018 le prix « Coup de cœur des collaborateurs » de la Fondation d’entreprise AG2R – La Mondiale

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La partie française du projet Biofermes Internationales a reçu en 2017 le prix coup de cœur du jury du 1% pour la Planète, dans la catégorie « Agricultures & sols »

Ils témoignent

Parole aux formés

Témoignage d'Aurélien & Antoine

La formation à Sainte Marthe nous a permis de nous confronter à la réalité de maraîchers. Cela a confirmé notre choix et nous a donné un aperçu de la diversité des tâches et des compétences que requiert cette activité. De plus, nous avons pu tisser un vrai réseau parmi les stagiaires de la formation, et des amitiés sincères.

Parole aux formateurs

Témoignage de Véronique, formatrice & gardienne de semences

Notre vocation est de diffuser cette « mémoire collective » [les semences paysannes] à des personnes qui s’engagent à leur tour dans ces actions citoyennes, humanitaires ou environnementales pour préserver l’un des bien les plus précieux à la survie des écosystèmes et de leurs populations.